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Niveaux de Santé – Page 298

jaunisse, puis des calculs biliaires et enfin le cancer des voies biliaires. Petit à petit, il y a eu une aggravation du trouble hépatique. Dans l’intervalle, un autre appareil plus superficiel a été touché, l’appareil respiratoire. Puis, l’organisme a été capable de déplacer la perturbation vers le squelette, avec apparition d’affections articulaires. Mais probablement du fait de la thérapeutique allopathique suppressive contre l’asthme bronchique et les douleurs articulaires, le système de défense s’est altéré et les troubles hépatiques ont réapparu. L’affection qui a succédé, est une affection physique encore plus profonde, puisqu’elle concerne le cœur et la circulation. L’organisme ne parvient plus alors à contrôler la situation et le cancer des canaux biliaires avec métastases pulmonaires se développe. Il est regrettable que la patiente n’ait pas eu de maladies aiguës depuis des années. Cela prouve que sa vitalité avait chuté depuis des années et qu’elle était susceptible de développer une maladie chronique grave. Comme on l’a dit précédemment, le signe favorable parmi tout ceci, est l’apparition de verrues qui résistent au traitement allopathique.
Antécédents médicaux familiaux et prédisposition héréditaire
Le cancer peut être une conséquence d’une influence miasmatique, mais moins l’activité miasmatique est importante, meilleur est le pronostic. Le caractère destructeur des problèmes articulaires oriente vers le miasme luétique, l’hypertension et les verrues vers la sycose. Les affections respiratoires peuvent être retrouvées chez la maman, dont les bronchites ne sont quand même qu’une affection de gravité légère, comparées à l’emphysème et au cancer pulmonaire que l’on retrouve chez d’autres membres de la famille. Les frères de la patiente sont aussi décédés