l’homéopathe. Ici, le tableau symptomatique reste assez vague – ce qui est aussi un rappel de l’état défectif où se situait l’organisme au début du traitement. Quoique des réactions se soient produites, qui montrent une évolution favorable de la santé de la patiente, le mécanisme de défense lutte encore pour contrebalancer la perturbation. Parmi les remèdes qui se dégagent de cette répertorisation Calcarea phosphorica est une bonne éventualité. Dans son essence psychologique, il y a l’affection principale actuelle, la mauvaise humeur avec le côté toujours insatisfait. Lorsqu’on l’étudie dans l’optique des remèdes combinés, nous pouvons le confirmer par des keynotes dans les généralités physiques ainsi que dans les symptômes émotionnels. Calcarea phosphorica convient bien aussi aux processus physiologiques que l’organisme de l’enfant traverse à cet âge et il est souvent nécessaire pour aider à ces changements.
Choix de la dynamisation
Bien qu’il n’y ait pas eu de fortes réactions avec les dynamisations précédemment prescrites, je préfère ne pas monter au dessus de la 200C puisque je ne peux pas évaluer avec beaucoup de certitude la sensibilité de l’organisme. C’est un choix particulièrement critique maintenant que l’organisme est à la recherche d’un nouvel équilibre. La dynamisation pourra toujours être rehaussée si la première dynamisation ne semble pas agir.
Cinquième consultation (six mois après la quatrième consultation)
L’enfant a pris Calcarea phosphorica 200C il y a six mois.
Pendant six semaines, elle a eu des cauchemars avec de grosses araignées avec des pattes velues [3]. Elle voit ses araignées en plein travail ou assises près de son lit. Une fois elle a rêvé qu’il y avait une tarentule dans son lit et elle a