Mercurius solubilis (vivus) n’a aucune keynote ou essence (psychologique) dans ce cas. Un désir marqué de sucreries est une contre-indication de ce remède.
Pulsatilla pratensis n’a pas de keynote dans ce cas. Le désir d’être avec ses parents fait partie de l’essence psychologique de ce remède.
Calcarea phosphorica a le côté ‘mécontent” comme élément de son essence psychologique. On peut confirmer d’autres symptômes en étudiant ses constituants ‘Calcarea’ et ‘Phosphorus’. Calcarea carbonica a comme keynotes le désir de sucreries et le désir de compagnie accompagné de peurs. Ces symptômes représentent aussi partiellement l’essence psychologique de Phosphorus.
Calcarea carbonica a donc un fort désir de douceurs en keynote. Une dépendance vis-à-vis de ses parents peut faire partie de l’essence psychologique du remède, mais le mécontentement le contre-indique. Les enfants qui ont besoin de Calcarea carbonica sont en général faciles à contenter et peuvent jouer facilement seuls.
Nux vomica a l’irritabilité comme élément de son essence psychologique. Il n’y a par ailleurs pas de keynote de ce remède.
Staphisagria et Sepia officinalis n’ont ni keynote, ni essence (psychologique) dans ce cas.
Pour Phosphorus, le ‘désir de compagnie’ avec ces peurs fait partie de son essence (psychologique).
Comme on l’avait prévu, il n’est pas aisé d’extraire un remède des symptômes que nous avons actuellement, ce qui montre que le niveau d’énergie n’est pas encore très satisfaisant. Un mécanisme de défense plus puissant produirait des symptômes clairs qui nous mèneraient à une prescription sans laisser beaucoup de doutes à