fessiers, ont disparu. Il y a donc une amélioration indiscutable. Pour ce qui est des effets secondaires des vaccinations, on peut surveiller les symptômes apparus depuis les vaccinations et voir s’ils ont disparus ou non. Après la première injection, l’enfant a développé des troubles ORL et après la deuxième injection, des crises épileptiformes. Les premières complications se sont maintenant dissipées mais ce n’est pas le cas jusqu’à présent du deuxième type de complication, ce qui signifie que Thuja occidentalis n’a eu qu’une action partielle sur les conséquences des vaccinations. Il sera intéressant de noter que Thuja n’a eu un effet durable que sur les troubles ORL qui appartiennent au miasme sycotique et que les troubles neurologiques n’ont été améliorés que transitoirement. On peut en déduire que les vaccinations ont stimulé plusieurs prédispositions héréditaires et qu’en fait une seule a été traitée. Ce peut être aussi l’explication qu’on puisse proposer pour la disparition de l’éruption et l’apparition de symptômes émotionnels. Le trouble cutané appartenait au miasme sycotique et a disparu avec le catarrhe lorsqu’on a traité la perturbation. Mais la prédisposition héréditaire sous-jacente qui n’a pas été traitée a entraîné l’apparition de nouveaux symptômes. J.T. Kent écrit que les symptômes émotionnels et mentaux résultent souvent d’une prédisposition héréditaire. C’est l’explication, en fait de la situation actuelle. Ce qui est survenu après Calcarea carbonica a été en partie solutionné par Thuja occidentalis et un ou plusieurs autres remèdes seront nécessaires pour finaliser le traitement.
L’enfant présente encore des affections très régulièrement ce qui signifie qu’elle se situe encore à un des niveaux de santé du groupe B, mais puisque les maladies aiguës ne sont ni plus longues ni graves, cela nous indique une remontée