auparavant (voir ‘Gestion des états aigus et leur relation avec le traitement de la pathologie chronique.’ page 58). Si le traitement est nécessaire, le mieux à faire est de répéter le remède qui a bien agi avant le retrait des médicaments allopathiques, à moins que le tableau symptomatique ne se soit modifié nettement. Parfois le remède doit être répété plus fréquemment le temps nécessaire à la libération d’une énergie suffisante, ce qui pourra permettre à l’organisme de s’adapter à cette nouvelle situation. Ces points doivent être parfaitement clairs aux yeux du praticien lorsque la situation se présente, sous peine de choisir la mauvaise conduite à tenir. La réaction initiale était pleine de promesses et maintenant la situation ne semble pas aussi favorable qu’elle ne l’était lors de la deuxième consultation. L’homéopathe pourrait conclure que le remède n’était pas correct et changer à tord sa prescription. Nous pouvons donc conclure que la maman a eu raison de répéter le remède lorsque c’était nécessaire, mais il est logique de prévoir que l’action de la dynamisation va s’épuiser si elle est renouvelée aussi souvent. J.T. Kent écrit qu’une dynamisation peut habituellement être répétée deux ou trois fois, qu’elle perd alors son activité et nécessite d’être rehaussée. Il me semble que c’est souvent vrai, mais cela ne peut pas être considéré comme une règle. Comme il n’y a aucun changement dans la symptomatologie, la meilleure tactique