Elle transpire facilement lorsqu’elle se dépense physiquement, après un accès épileptiforme ou en dormant et surtout au niveau de la nuque. [3]
L’enfant est gaie et en général de bonne humeur. Elle ne se met en colère que lorsqu’on ne lui donne pas ce qu’elle veut, mais la plupart du temps, c’est une enfant facile.
Sa mère jouit d’une bonne santé et son père est allergique aux chats. Enfant, il a fait une scarlatine grave dont il a failli mourir. Un oncle maternel est décédé d’une tumeur cérébrale à l’âge de trente-six ans. Sa grand-mère maternelle est décédée de problèmes respiratoires après une pneumonie. Son grand-père paternel est lui mort des suites d’un cancer gastrique avant l’âge de cinquante ans. Sa grand-mère paternelle a des problèmes cardiaques.
Pronostic de la première consultation
Profondeur de l’affection
Nous avons deux principaux problèmes dans ce cas : affections respiratoires et crises épileptiformes. Le premier problème ne siège pas trop en profondeur. Bien qu’une pneumonie puisse menacer la vie, les troubles respiratoires ne se situent pas très haut dans la hiérarchie des affections physiques. Le deuxième trouble, par contre, siège dans la région physique la plus profonde du corps humain, le système nerveux.
Ce type de problèmes respiratoires a un bon pronostic et ne pose pas de problème en homéopathie. Il n’en est pas de même des problèmes neurologiques. L’homéopathie guérit l’épilepsie, mais comme le siège de ces affections est profond dans l’organisme, l’homéopathe doit toujours être prudent quant au pronostic de ce type de troubles. Par chance, dans ce cas, on n’a pas porté le diagnostic d’une épilepsie vraie, ce qui signifie que les symptômes sont