Rhus-t. Lach. Sulf. Apis Graph. Bell. Calc. Hep. Sil. Borx.
16 15 15 13 12 10 10 10 10 9
1 2 3 2 3 2 2 2 2 2 2
2 1 3 1 – – – – – – –
3 3 3 2 3 3 3 2 2 2 2
4 2 – 2 2 1 – – – – –
5 3 2 3 1 2 2 3 3 3 2
Diagnostic différentiel des remèdes
Les deux remèdes que nous avons prescrits avec succès dans ce cas, Thuja occidentalis et Natrum sulfuricum, n’apparaissent pas dans cette liste lorsque nous faisons l’analyse sur la totalité, les keynotes ou la pathologie. Si nous les étudions, nous nous rendons compte que Thuja occidentalis est au second degré dans les rubriques ‘Extrémités – Inflammation – Jambes – érysipélateuse’ et ‘Peau – Erysipèle’. Il est au premier degré dans la rubrique ‘Extrémités – Membres inférieurs ; troubles des – gauche’. Natrum sulfuricum est au second degré dans la même rubrique et au premier degré dans ‘Peau – Erysipèle’. Pour Thuja occidentalis nous avons la keynote de la latéralité gauche, mais pour Natrum sulfuricum nous n’avons aucune confirmation par les keynotes. Nous démarrons donc avec Thuja occidentalis.
Réaction à la quatrième prescription
Thuja occidentalis 30C n’a eu aucune action sur l’érysipèle. Comme cette dynamisation a déjà prouvé son efficacité à plusieurs occasions, on ne perd pas de temps à essayer une autre dynamisation et on prescrit Natrum sulfuricum 30C. Après ce remède, l’intensité de l’érysipèle a immédiatement régressé. Il est devenu moins rouge et a disparu en quelques jours.
Conduite du traitement
Après cet incident, le patient s’est bien porté. Il a refait une fois une éruption sur le tibia qui n’a pas pris les caractères