accorder une attention particulière aux médicaments complémentaires.
Observation 10 : Véritable rechute un mois après une réaction favorable.
Figure 17
Si nous avons une réaction favorable, qui s’est traduite par une aggravation initiale locale et générale, puis d’une amélioration locale et générale, nous sommes en présence d’un organisme résistant qui fait partie des niveaux les plus élevés, deux à cinq dans cet exemple. Après une aussi bonne réaction, il est anormal que ces niveaux de santé rechutent sans des raisons sérieuses. Si cela se produit malgré tout, c’est que très probablement l’organisme a été antidoté, soit par des drogues chimiques, des drogues douces, ou du café, un stress mental ou émotionnel, etc. (voir ‘Antidotes au traitement homéopathique’ page 48).
Par conséquent, dans ces cas, le mieux à faire est tout d’abord d’arrêter l’antidote si le patient l’utilise encore et de voir si l’organisme se rééquilibre tout seul sans autre intervention médicamenteuse. Si l’action du remède est réellement antidotée, la rechute va se poursuivre et il nous faudra répéter le remède à la même dynamisation – si bien sûr l’organisme rechute selon la même image médicamenteuse avec les mêmes keynotes. Ce sera en général le cas pour un organisme doté d’un bon niveau d’énergie. Chez ceux qui ont un système de défense déjà altéré,