Books

Niveaux de Santé – Page 101

défense est faible et accepte un compromis plus aisément. Nous constaterons alors que les symptômes se déplacent vers une région de l’organisme plus profonde, par exemple, les douleurs articulaires des doigts disparaissent et une cystite ou de l’anxiété se développe ensuite. La meilleure stratégie dans ces cas consiste à attendre et voir si la nouvelle affection ne gêne pas trop le patient. Sinon, examinez à nouveau le cas et prescrivez en vous basant sur la symptomatologie initiale. Ne vous servez pas des nouveaux symptômes pour établir une prescription, car cela embrouillera le cas encore un peu plus. Si nécessaire, il faudra antidoter le remède mais pas par un antidote homéopathique. Tout médicament homéopathique qui n’est pas l’exact simillimum peut agir comme antidote, s’il est assez proche de la configuration énergétique de l’organisme et pourra provoquer une perturbation encore plus importante en modifiant cette configuration énergétique. Si, cependant, s’il est possible de trouver le véritable simillimum et qu’on en soit absolument certain, il pourra être prescrit immédiatement. Il va nettoyer l’action négative du mauvais remède et restaurer l’équilibre de l’organisme.
Si nous voyons cette réaction dans un cas appartenant aux niveaux inférieurs du groupe C ou du groupe D, c’est alors une confirmation que le cas est incurable mais que le remède est correct. Comme on l’a déjà mentionné, un organisme du groupe D n’a pas la force suffisante pour déclencher une réaction générale et donc les régions plus profondes de l’organisme ne seront pas affectées. De plus, l’objectif thérapeutique dans ces cas est uniquement palliatif ce qui sous-entend : amélioration sans aggravation initiale.