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la science de l’homéopathie – page 85

fréquence vibratoire. Ces stimuli peuvent être l’effet de médi-
caments, de chocs émotionnels ou d’influences du milieu
environnant, mais pour produire un effet, ils doivent résoner
avec la fréquence vibratoire de l’organisme. Supposons, par
exemple, qu’un malade cardiaque apprenne que son enfant est
décédé. Ce choc émotionnel affectant le niveau vibratoire
correspondant au cœur, il est probable que le patient présen-
tera des troubles psychiques. Simultanément, ses symptômes
cardiaques s’amenuiseront ou disparaîtront. Le même proces-
sus peut se produire lorsqu’un patient est traité sur le plan
cardiologique au moyen de drogues puissantes.
Inversement, un stimulus curatif coïncidant avec la bonne
fréquence de résonance modifiera la fréquence vibratoire mais
cette fois en améliorant l’état de santé. N’importe quelle
thérapeutique pourrait produire un tel résultat mais le plus
souvent cela ne se produit qu’accidentellement parce que le
principe de résonance entre agent thérapeutique et maladie
n’est pas respecté. Les psychothérapies peuvent aussi avoir
des effets curatifs si le patient est réceptif à ce genre d’influen-
ces au moment où il y est soumis. Sans interférence ultérieure,
le bénéfice est alors durable. Malheureusement, les thérapeu-
tes ont tendance à prolonger les cures plutôt que de laisser la
nature « faire le reste ». Si une perturbation émotionnelle se
produit alors au nouveau niveau vibratoire, elle risque de
replonger l’individu dans l’état précédent – voire de l’aggra-
ver. Il en est de même pour la phytothérapie, pour l’acupunc-
ture, etc. Toute thérapie peut produire un effet bénéfique
lorsque le stimulus thérapeutique coïncide avec le niveau de
réceptivité de l’organisme, et ce bénéfice peut s’avérer durable
si le processus se poursuit sans interférence extérieure, même
lorsque de nouveaux symptômes apparaissent à des niveaux
plus périphériques.
Nous disposons avec l’homéopathie d’un système scienti-
fique qui permet de stimuler l’organisme au niveau de la
fréquence de résonance et de laisser ensuite le mécanisme de
défense ainsi renforcé parachever le travail. Nous verrons
dans les prochains chapitres que chaque prescription homéo-
pathique est censée se fonder sur la totalité des formes
d’expression du mécanisme de défense; de cette façon, elle
coïncide avec la fréquence de résonance. Un remède incorrect
et qui ne correspond qu’à une image partielle de la symptoma-
tologie risque cependant de détériorer l’état de santé en
repoussant la pathologie à un niveau plus profond. De même,
un remède homéopathique peut être prescrit à un mauvais
moment – c’est-à-dire lorsque le mécanisme de défense