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la science de l’homéopathie – page 245

dix jours plus tard elle succomba après avoir sombré dans un
état comateux.
Voici un autre cas qui va à l’encontre de la croyance selon
laquelle les remèdes palliatifs abrègent les jours des cas
terminaux. Un homme de 74 ans souffrait d’un cancer des
poumons métastasé dans diverses régions de son organisme.
La médecine officielle ne lui accordait que quelques semaines
à vivre. On entreprit un traitement homéopathique palliatif et
les résultats furent une fois encore surprenants. Pendant les
trois années suivantes, cet homme vécu pratiquement libre de
toute douleur et fut suffisamment actif pour continuer à
entretenir son jardin. Il décéda un jour d’une hémoptysie
brutale. Il n’est pas question de parler de guérison dans ce cas
mais d’un soulagement durable. Le traitement homéopathi-
que palliatif permit au patient de vivre quelques années
actives de plus que ne l’avaient prévu les médecins allopathes.