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la science de l’homéopathie – page 116

fort pour faire complètement obstacle à l’effet du vaccin. Son
influence morbide demeure dans le corps et la fréquence
vibratoire de l’organisme tout entier est modifiée proportion-
nellement à la force du vaccin lui-même. S’il s’agit d’un vaccin
puissant (par exemple anti-variolique) qui résonne au niveau
de susceptibilité du patient, la fréquence vibratoire de l’orga-
nisme peut changer de niveau et sera incapable de revenir au
niveau auquel elle se trouvait précédemment sans l’aide d’un
traitement homéopathique approprié. Un tel changement du
niveau vibratoire est confirmé par le fait que, par la suite, le
patient ne réagira pas à l’administration du même vaccin.
Si le vaccin engendre des symptômes tels que: fièvre,
malaises, anorexie, douleurs musculaires, etc., nous pouvons
déduire que le mécanisme de défense est relativement fort et
peut neutraliser avec succès l’influence morbide du vaccin. On
observe souvent une telle réaction chez les enfants dont le
mécanisme de défense n’a pas encore été affaibli par des
stimuli morbides extérieurs. Bien sûr, si le mécanisme de
défense sort vainqueur de cette manière la personne ne sera en
rien protégée contre la maladie. Contrairement à un individu
en pleine santé qui ne réagit ni au vaccin ni au microbe, la
personne ayant une forte réaction systémique est sensible au
microbe et au vaccin et elle est susceptible de contracter la
maladie contre laquelle elle a été vaccinée. De tels cas sont
relativement rares parce que peu d’individus possèdent un tel
degré de santé dans notre monde moderne; les statistiques
montrent que le taux d’ « efficacité» des vaccinations se situe
entre 10 et 15 %, suivant le type d’immunisation (11-12). Les
statistiques ne constituent cependant pas la mesure réelle de
l’efficacité des vaccins; elles permettent plutôt d’évaluer le
mauvais état de santé des populations.
Le troisième type de réaction est violent et s’accompagne
de complications. Il indique que la susceptibilité de l’orga-
nisme à la maladie est élevée, mais dans ce cas le mécanisme
de défense est trop faible pour neutraliser le vaccin de sorte
qu’il se produit une maladie profonde. C’est peut-être le cas le
plus tragique puisque si le patient réchappe à ces complica-
tions, son état de santé pourra demeurer compromis. Nous
assistons alors au développement d’une maladie chronique
grave dont l’origine remonte au moment de la vaccination.
L’affaiblissement du système de défense peut être tel que
même un traitement homéopathique bien conduit pourra
demander des années avant que la personne ne retrouve un
état de santé normal. Il est vrai que si la même personne
s’était trouvée exposée à une épidémie, elle aurait souffert des