remède. Ils sont une expression du déséquilibre de l’organisme et créent une confusion dans le choix du remède, car on ne connaît pas à l’avance les symptômes qui se révèleront utiles et ceux qui ne le seront pas, comme dans ce cas.
On voit donc que le nouveau tableau symptomatique qui vient de se développer indique clairement un remède, ceci prouve bien que le mécanisme de défense est devenu beaucoup plus fort et que nous sommes sur le bon chemin quant au traitement. Peu importe que le remède soit reconnu ou non dans le traitement de la prédisposition héréditaire actuelle. Tout remède semblable aux symptômes particuliers qui expriment la réaction individuelle de l’organisme vis–à-vis d’un facteur de stress, comme l’est la prédisposition génétique, pourra éliminer cette influence. Dans le cas d’une prédisposition héréditaire (miasme), il nous est possible de mettre en évidence cette évolution par la surveillance des keynotes de la prédisposition et leur modification ou non sous l’action du remède.
Choix de la dynamisation
Dans la mesure où il y a eu une action claire du remède précédent qui avait été prescrit en 200C, je ne pense pas qu’il soit nécessaire de démarrer avec une dynamisation plus élevée.
Réaction médicamenteuse et consultations suivantes
A la suite de la prise de Lac caninum 30C, la patiente n’a fait que trois cauchemars durant les huit mois qui ont suivi au lieu de plusieurs par semaine auparavant. Elle n’a pas eu d’aggravation initiale. Lorsqu’elle a présenté une rechute après ces huit mois, on lui a redonné Lac caninum 200C, elle y a répondu avec une amélioration en moins de douze heures, sans aggravation initiale une fois encore. Deux ans