Books

Niveaux de Santé – Page 263

dans son lit jusqu’au coucher de ses parents. Elle dort encore avec la lumière.
La peur de l’obscurité et des araignées est inchangée. Elle a toujours sa vivacité d’esprit, prend facilement la mouche, elle est aisément vexée et est sensible aux critiques. [2]
Son appétit est meilleur ; elle mange à peu près le double de la quantité qu’elle prenait auparavant, mais toujours aussi peu varié. Il n’y a aucun changement quant à ses réactions thermiques.
Ses jambes sont couvertes de petites croûtes car elle les gratte beaucoup [2].
Il n’y a pas eu de maladie aiguë.
Evaluation de la seconde consultation
L’observation de la réaction médicamenteuse montre que le cas semble bien faire partie d’un niveau inférieur de santé, comme on pouvait s’y attendre, il y a eu en effet une amélioration partielle de l’affection principale sans aggravation initiale et avec une rechute après environ deux mois sans qu’il y ait eu d’antidotage. Une amélioration de l’affection principale sans aggravation initiale peut se voir dans les niveaux de santé supérieurs si elle s’accompagne d’une amélioration générale du patient. Dans ces cas, nous observerons également que le rétablissement de l’équilibre va se prolonger de nombreux mois ou même des années dans la mesure où il n’y a pas l’intervention d’un puissant antidote. (Voir ‘Observation 2 : Le patient se sent beaucoup mieux sur tous les plans, mais il n’y a eu que peu ou pas d’aggravation.’ page 82).
Ici, il n’y a pas d’amélioration générale pour ce qui est des symptômes mentaux et émotionnels, mais l’enfant a un bien meilleur appétit. L’appétit augmenté peut être la marque d’un début d’amélioration physiologique. L’important prurit des jambes est une autre observation