ainsi chuté vers un niveau de santé inférieur où elle n’est plus capable de réagir correctement à ce type de geste et elle risque donc de voir s’installer une affection chronique.
Le recours fréquent aux antibiotiques et l’utilisation du ‘Flixotide’ ne peuvent aider l’organisme dans sa lutte pour maintenir le meilleur niveau de santé. Au contraire, les corticoïdes exercent tout particulièrement une forte influence suppressive. Ils vont accroître le risque de voir se développer un médiocre état de santé chronique.
On doit également tenir compte de l’accouchement par forceps de notre patiente. Cet accouchement difficile est susceptible d’implanter une nouvelle strate médicamenteuse connectée à un traumatisme physique ou émotionnel. Le bon score Apgar est un élément favorable pour le pronostic. Les enfants en état de choc après une naissance délicate n’ont pas un bon score Apgar. Il est difficile de savoir si les hormones utilisées pour déclencher l’accouchement ont eu un effet sur la santé de l’enfant.
Antécédents médicaux familiaux et prédisposition héréditaire
Puisque l’enfant présentait déjà des symptômes avant d’être vaccinée, un facteur stimulant de la maladie devait donc être déjà actif et il s’agit très probablement de la prédisposition héréditaire. Il est possible que l’utilisation des forceps pendant l’accouchement ait provoqué une sorte de choc et stimulé la prédisposition, mais comme la santé du bébé était bonne après la naissance, nous en sommes réduits aux suppositions sur ce point.
Lorsque nous étudions l’histoire médicale de la famille, nous trouvons des problèmes respiratoires chez le grand-père maternel, ce qui peut expliquer pourquoi il y a une susceptibilité chez l’enfant à développer des troubles respiratoires. La notion d’allergie aux chats chez le père de l’enfant confirme une faiblesse héréditaire de l’appareil