moins profondément ancrés dans le système nerveux et c’est un élément favorable pour le pronostic.
Le bon équilibre mental et émotionnel de l’enfant est un autre élément favorable de ce cas. C’est un atout important. Une guérison peut survenir plus rapidement lorsqu’il n’y a pas d’atteinte de ces niveaux. Sinon, l’énergie libérée par le remède sera utilisée en premier lieu pour rééquilibrer ces plans plus profonds – et lors de ce processus, il pourra même y avoir une accentuation des troubles physiques. On doit observer également que cette patiente a eu des problèmes cutanés très tôt dans sa vie. Bien qu’elle ait aussi eu des râles respiratoires, cela signifie que l’organisme est encore capable de refouler en périphérie une partie de la perturbation sous la forme d’éruptions cutanées.
Antécédents médicaux personnels de la patiente
L’histoire médicale de cette petite fille est remarquable si l’on considère son jeune âge. Elle a eu, très jeune, des râles respiratoires et quelques symptômes cutanés, mais ses problèmes ont véritablement débuté lorsqu’elle a fait une pneumonie et des maladies aiguës récidivantes à l’âge de quatre mois. Quatre mois plus tard, la situation s’est même aggravée lorsque la perturbation s’est enfoncée plus profondément dans l’organisme et que sont survenus les problèmes neurologiques. L’homéopathe ne manquera pas d’observer que les deux pathologies sont apparues peu après une vaccination. Après la première injection, elle a fait des infections respiratoires à répétition et une pneumonie, et elle n’a jamais pu récupérer totalement après la seconde injection. Et les crises épileptiformes ont commencé un mois après. Cette fois, le bien moindre retentissement sur la santé de l’enfant après la troisième vaccination montre combien son système immunitaire a été endommagé. Elle a