pas d’organes vitaux. Mais s’il n’est pas traité, le patient peut perdre la vue du côté affecté.
Lorsqu’on traite un cas dont le système de défense semble bien fonctionner, on s’attend à ce que la perturbation suive les ‘directions de guérison’ en se déplaçant vers une région du corps moins vitale. Comme les problèmes initiaux se situaient à un niveau périphérique comme le squelette, un mécanisme de défense efficace ne pourrait que repousser l’expression de la pathologie un peu plus vers l’extérieur, à savoir vers les muscles, les muqueuses ou la peau. Ce n’est pas en fait ce qui s’est produit à ce moment du traitement. Bien que les troubles squelettiques aient bien répondu au premier remède, l’affection actuelle ne se situe pas à un niveau plus superficiel que la lésion initiale. Nous pouvons assister à cette réaction lorsque nous prescrivons un remède partiellement indiqué. Un tel remède peut avoir une action suppressive qui entraîne une disparition ou une diminution des affections initiales tout en contraignant le mécanisme de défense à développer de nouveaux troubles à un niveau (un peu) plus profond. Le fait, cependant, qu’une aggravation se soit produite après l’élévation de la dynamisation du remède et qu’il y ait un meilleur équilibre sur le plan émotionnel, devrait être pour nous une indication que le premier remède était réellement correct.
Conclusion
Comme la situation est un peu embrouillée, nous devons l’analyser un peu plus afin de trouver une explication logique pour rendre compte de ce nous observons. Si le premier remède était correct, le glaucome ne pourrait alors se développer que :
– s’il s’agit d’un trouble ancien de retour parce que le système de défense a gagné de l’énergie, ou