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la science de l’homéopathie – page 119

2. Les « effets secondaires» sont en réalité des signes du
mécanisme de défense réagissant à cette influence morbide.
3. Un « dopage» allopathique peut créer de tels domma-
ges au mécanisme de défense que le patient peut devenir
pratiquement incurable.

4. Les drogues allopathiques n’étant jamais prescrites en
respectant la Loi des semblables, elles surimposent inévitable-
ment à l’organisme une nouvelle maladie, dite iatrogène.

S. Les drogues ont deux effets : une influence morbide
directe, et une influence suppressive résultant de la « suppres-
sion » de la meilleure réponse dont le système de défense était
capable.

6. Les drogues suppressives constituent un facteur
majeur de l’accroissement alarmant des maladies chroniques
dans notre société.

RÉSUMÉ DE LA SECTION CONSACRÉE
À LA VACCINATION

1. La vaccination n’est pas un exemple de l’application
allopathique du principe homéopathique, puisqu’il s’agit de
l’administration non-discrirninative d’une substance à une
population entière sans prendre en considération l’individua-
lité.

2. Une vaccination est un stimulus morbide qui modifie
la fréquence de résonance du mécanisme de défense.
3. L’absence de réaction à une vaccination peut indiquer
une excellente santé ou au contraire une faiblesse constitu-
tionnelle profonde, puisque dans les deux cas la fréquence de
resonance du patient ne permet pas de réponse. Dans un tel
cas, le patient serait immunisé en cas d’épidémie, même s’il
n’avait pas été vacciné. ,

4. Une réaction modérée – une simple inflammation
loocale – indique un mécanisme de défense relativement faible
et la fréquence vibratoire altérée peut persister durant une
nlogue période pour déboucher sur une maladie chronique. De
tels cas ne réagiront pas à une administration ultérieure du

vaccin, confirmant ainsi le changement de fréquence de
resonance.

5. Une réaction systémique s’accompagnant de fièvre, de
malaises, etc. indique une réaction de défense forte susceptible
de réussir à rejeter l’influence morbide de la vaccination. Le
patient n’est pas, dans ce cas, protégé contre la maladie, en
depit du fait qu’il aura été vacciné.