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la science de l’homéopathie – page 30

Dans cette représentation simplifiée – bi-dimension-
nelle – le plan mental apparaît au centre, c’est-à-dire au
niveau le plus élevé hiérarchiquement car il correspond aux
fonctions les plus cruciales dans l’expression de l’individu en
tant qu’être humain. A cet égard, le niveau physique se situe,
lui, à la périphérie parce que paraissant le moins important de
la hiérarchie.

La figure 2 est la décomposition de la figure 1 en fonctions
individuelles. L’aspect médical étant le seul qui nous intéresse
ici, la hiérarchie reprise dans cette figure 2 met en évidence
une liste de symptômes représentant les aspects négatifs des
fonctions correspondantes. Il ne s’agit bien entendu que d’une
approche préliminaire nécessitant une recherche plus appro-
fondie; néanmoins, toute approximative qu’elle soit, cette
approche peut être vérifiée cliniquement dans la mesure où
l’on considère le patient dans sa totalité.
Dans ce chapitre nous décrirons brièvement ces trois
niveaux que nous nous efforcerons d’illustrer de manière plus
exhaustive au cours de cet ouvrage.

Dans la réalité, chaque symptôme particulier doit être
envisagé avec son degré d’intensité, ce que ne fait pas ressortir
la figure 2 qui donne à penser que tous ont le même degré
d’intensité. Par exemple, l’irritabilité de degré (a) est moins